Les Français et la politique.

français et politique

Décidément, certains français, n'acceptent vraiment pas la démocratie ! 
Pourtant une majorité s'est prononcée et dans une démocratie digne de ce nom, le principe voudrait que le «vainqueur» gouverne, avec le concours du restant du peuple même s’il ne partage pas les mêmes opinions (c’est l’opposition). Mais nous sommes très loin de ce scénario idyllique…
Quand j'entends monsieur Copé parler de guerre, je vois rouge. Y-a-t-il une guerre civile en France ? Elle viendra probablement un jour… mais ce n'est pas le cas aujourd'hui. 
Quant à madame Morano - madame je sais tout, madame je me mêle de tout - nous donne des leçons d'économie, je suis, pour le moins bien triste. Je doute fort que l'histoire de France retienne son nom pour l'empreinte qu'elle a laissée dans son ministère. Enfin !
J’ignorais même jusqu’à aujourd'hui qu'il existait en France un parti antisioniste, qu'il avait donc droit de cité avec des représentants aux législatives. Vous me direz qu'il m'a fallu des années pour apprendre que des tribunaux rabbiniques existaient dans mon propre pays !!! Un tribunal en France ne peut être que Républicain et en aucun cas religieux : N'est-ce pas un propre abus de droit et de pouvoir ? Il n’y a pas de tribunal catholique ou protestant ou bouddhiste ou vaudou en France et pourtant je n'entends aucune voix s'élever contre cet abus ? Pourquoi donc ?
Monsieur Peillon s'emballe, il décide seul, sans attendre. Un peu de calme, cher monsieur, la concertation n'est pas faite pour les chiens.
Madame Batho renonce à son logement social....C'est bien, mais les ministres, ainsi que tous les élus de la République en règle générale devraient payer leur loyer, comme tout un chacun. Ils ont un salaire, ils ne sont pas bénévoles et pour moi, être un élu du peuple est un honneur.
Notre République va «crever» un jour de tous les privilèges des nos hommes politiques, aidés par les médias qui colportent des bruits de couloir; alors que notre pays n'a seulement besoin que de vérité et de cohésion nationale.
18 mai 2012